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Les taux de prêt immobilier à nouveau en baisse. Il ne faut pas hésiter, les banques se battent histoire de capter une nouvelle clientèle.
En moyenne, les taux s'établissent à 2,15 % sur 15 ans, 2,40 % sur 20 ans et 2,65 % sur 25 ans. Mieux encore, quand le dossier est excellent, l'emprunteur peut obtenir des taux de crédit inférieurs à 2 % sur les durées allant jusqu’à 20 ans inclus.
Le prêt à taux zéro (PTZ)
Le prêt à taux zéro, ou PTZ (dénommé également PTZ+), a été progressivement modifié afin de favoriser l'accession sociale à la propriété des ménages modestes.
Les évolutions du PTZ en 2016 :
L'article 107 de la loi de finances pour 2016, mise en application par le décret n° 2015-1813 du 29 décembre 2015, simplifie et élargit le prêt à taux zéro :
- le PTZ peut désormais financer jusqu'à 40% (contre de 18 à 26% en 2015) de l’achat d’un logement dans le neuf;
- les plafonds de revenus sont augmentés, permettant à davantage de ménages d'en bénéficier;
- le remboursement du prêt peut être différé de 5, 10 ou 15 ans selon les revenus;
- le PTZ permet de nouveau l'acquisition d'un logement ancien, sous conditions de travaux, partout en France (seules les zones rurales étaient concernées en 2015).
- les ménages peuvent louer leur logement au bout de 6 ans, sans attendre le remboursement total du prêt.
Les banques ont des objectifs commerciaux ambitieux et le crédit immobilier est l’outil numéro 1 pour capter une nouvelle clientèle. Reste que les banques sont prudentes. Elles sont exigeantes à la fois sur la stabilité de l’emploi mais également sur les fonds propres c'est-à-dire sur l’apport du futur acquéreur. Et dans neuf cas sur dix elles demandent l'autofinancement des frais de notaire.
Meilleur prêt immobilier
Il existe de nombreux curseurs à actionner pour alléger son prêt immobilier de plusieurs milliers d'euros. On peut commencer par faire des économies dès la souscription en faisant appel à un courtier. Ces professionnels négocient à votre place le meilleur taux du marché. Les courtiers en ligne se font rémunérer directement auprès des banques. D'autres prennent jusqu'à 1% du montant du prêt (plafonné à 1 000 € environ).
L'allégement des mensualités passe aussi par la souscription de prêts spécifiques, dont les taux très faibles permettront de réduire le montant du crédit principal. Selon votre situation et le niveau de ressources, vous pourrez prétendre au prêt à taux zéro (PTZ), au prêt à l'accession sociale (PAS), prêt conventionné, au prêt action logement ou l'APL Accession,…. Il est également possible de recevoir l'aide des collectivités locales qui proposent parfois leurs propres dispositifs d'aides, cumulables pour certains.
Autre source d'économie possible : l'assurance-emprunteur (décès, invalidité, incapacité de travail). Dans la majorité des cas, elle est souscrite auprès de l'établissement prêteur. Pourtant, ces contrats de groupe ne sont pas toujours compétitifs (jusqu'à un tiers du coût du prêt).
Depuis 2010, les emprunteurs peuvent choisir la "délégation d'assurance" auprès d'un autre organisme.
Caution bancaire
Les établissements de caution proposent des tarifs qu'il faut comparer, le plus souvent à l'aide de simulateurs mis en place sur leur site, de façon à calculer le montant de la garantie. C'est souvent moins cher et la banque ne peut pas vous le refuser si le niveau de garantie est équivalent. Renseignez-vous auprès de courtiers en assurance.
Enfin, on peut aussi faire des économies sur la garantie obligatoire de l'emprunt. À ce petit jeu, la caution bancaire est moins chère qu'une hypothèque, car une partie de la cotisation est rendue à la fin du prêt, en plus l'acte de caution n'est pas notarié ni soumis aux droits d'enregistrement.